HMS HOOD, 1:100e

Longueur de coque 2.62m

Largeur 32cm

Echelle : 1/100 ème

La quille est faite en pin et en deux parties avec un trait de Jupiter au milieu « sans la clé »

L’avant en trois parties taillées en angle

L’arrière idem, avec la jaumière pour le passage de la mèche de gouvernail.

Le squelette comprend 22 couples taillés dan du contre-plaqué de 10mm (1cm) puis évidé avant de les coller sur la quille. Cela fait on colle les couples sur la quille, on laisse sécher la colle 12 heures, puis on les fixe sur le chantier, la quille en l’air, en prenant bien soin de marquer la position des couples sur le chantier.

Les bordées sont taillées dans du peuplier (vu sur lap photo). Ils font 2.6m de long, il y aura à peu près 200 boudées de 1.3 cm de large sur 5mmd’épaisseur.

Propulsion quatre hélices de Ø45mm, étambot de 4 mm.

J’attends de recevoir le plan qui vient d’Angleterre (nos cousins) en attendant, je fais avec le livre de John Roberts qui comprend les formes et beaucoup d’autres détails, y compris les couleurs de 1941.

Suite dans quelques temps

Voilà, la coque est bouchée, il me reste à peindre l’intérieur, fixer les tubes d’étambot et faire les chaises d’hélices « 45mm ».

Le bordage a été fait de droite à gauche, et chaque bordée est collé aux couples, puis les uns aux autres, et est pointé sur le couple. Quand la colle est sèche, je retire toutes les pointes, et à chaque trou, une cheville carrée est mise en place, surtout pas de cheville ronde.

La coque a été poncée et les quilles à roulis posée ainsi que les renforts de coque.

Maintenant il me reste à poser le pont et, comme d’habitude, à la poncer. Ensuite, il reste le plus dur à faire, les superstructures… ça c’est autre chose.

Commencé le   04/04/2013

Fini le 12/10/2014

Le HMS Hood est enfin fini.

J’ai mis 3 ans pour le monter, tout fait main, sauf les hélices qui sont au nombre de 4. Il est propulsable, les parties démontables sont prévues.

La propulsion se fait avec 4 moteurs de 12v trouvables en magasins de modellisme.

Voilà, je crois que ne n’ai rien oublié

LE PROCHAIN ?

Michel